la porsche un bon vieux flat-six qui a largement fait ses preuves. Ici il développe 285 cv, cependant le poid n'est pas le même que la lotus. En prenant place dans l'habitacle on voit bien que la philosophie est ici totalement différente, du cuir partout (rouge terracota pour ce modèle) les compteurs atypique des porsches se trouve devant nous. Comparée à la lotus, le moteur demande plus de tour à bas régime, il support mal la promenade en ville. La finition est ici totalement différente, dans la lotus du carbone, de l'aluminium, des baquets aussi epaix qu'une feuille (au demeurant confortable), alors que dans la porsche on a du cuir, une coque de bacquet couleur carrosserie (option) et de la moquette l'ambiance est beaucoup plus routière que racing

Une simple pression sur l'accélérateur et l'aiguille du compte tour s'emballe, trop tard on se trouve déjà à 8 000 tr/min, il faut passer la troisième. Une fois que tu passes la troisième le moteur reprend de plus belle et hop on recommence l'aiguille du compte tour monte, monte on pourrait croire qu'elle ne va pas s'arrêté. Coup d'oeil sur le compteur de vitesse est là stupéfaction 170 km/h alors que je ne suis qu'en troisième. On décide de ralentir car un rond point arrive -rapidement- le freinage se montre mordant, une vraie voiture de course ! Pour le bas régime le moteur se montre étonnamment compréhensif, il ne bronche pas et ne montre aucune envie de monter dans les tours pour éviter les saccades que procuraient l'exige série 1. En conclusion le moteur se montre très polyvalent et quel châssis.

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