sommaire généralhttp://www.myelise.fr/intro/sommaire_general.html
sommaire les photoshttp://www.myelise.fr/intro/sommaire_les_photos.html

50 600 euros (2006 - 2008)

12 CV FISCAUX

CARACTERISTIQUES TECHNIQUES LOTUS EUROPA S

MOTEUR

Type: 4 cylindres en ligne, 16 soupapes, 2 arbres à cames en tête

Position: transversal central AR

Alimentation: Gestion intégrale électronique Bosch Motronic ME7.6.2 + turbocompresseur Borg Warner K04 ( 0,7 bars) + échangeur air/air

Cylindrée en cm3: 1 998

Alésage x course : 86 x 86

Puissance ch DIN à tr/mn: 200 à 5 400.

Puissance au litre en ch DIN : 100,10

Couple maxi en mkg à tr/mn: 27,7 à 5 000

Couple au litre mkg : 13,86

TRANSMISSION

AR.

Boîte de vitesses (rapports): Mécanique à 6 rapports.

POIDS

Données constructeur en kg: 995

Rapport poids/puissance en kg/ch DIN : 4,97.

ROUES

Freins : 2 disques ventilés AV (Ø 288 mm) avec étriers AP 2 pistons et 2 disques ventilés AR (Ø 288 mm) avec étriers Brembo 1 piston + ABS.

Pneus : Bridgestone Potenza RE040 AV 175/55 R 17 et AR 225/45 R 17.

PERFORMANCES

Vitesse maxi en km/h: 242

400 m DA en secondes: 14"4

1 000 m DA en secondes: 26"0

0 à 100 km/h : 6"1

0 à 200 km/h : 24"0

Env. 55 000 Euros (2008)

12 CV FISCAUX

CARACTERISTIQUES TECHNIQUES LOTUS EUROPA SE

MOTEUR

Type: 4 cylindres en ligne, 16 soupapes, 2 arbres à cames en tête

Position: transversal central AR

Alimentation: Gestion intégrale électronique Bosch Motronic ME7.6.2 + turbocompresseur Borg Warner K04 ( 0,7 bars) + échangeur air/air

Cylindrée en cm3: 1 998

Alésage x course : 86 x 86

Puissance ch DIN à tr/mn: 222 à 5 7400.

Puissance au litre en ch DIN : 111,11

Couple maxi en Nm à tr/mn: 300 à 5 000

Couple au litre Nm : 150,15

POIDS

Données constructeur en kg: 995

Rapport poids/puissance en kg/ch DIN : 4,48.

ROUES

Freins : 2 disques ventilés AV (Ø 308 mm) avec étriers AP 4 pistons et 2 disques ventilés AR (Ø 308 mm) avec étriers Brembo 1 piston + ABS.

Pneus : Goodyear F1 GSD AV 195/45 R 17 et AR 235/40 R 18.

PERFORMANCES

Vitesse maxi en km/h: 235

400 m DA en secondes: ND

1 000 m DA en secondes: ND

0 à 100 km/h : 5"7

0 à 160 km/h : 13"

CARACTERISTIQUES TECHNIQUES

LOTUS EUROPE-EUROPA / EUROPA SPECIAL "TWIN CAM"

MOTEUR

Type: 4 cylindres en ligne

Position: longitudinal central AR

Alimentation: carburateur double corps Solex de 35 mm/ 2 carburateurs double-corps Weber

Cylindrée (cm3): 1470 / 1558

Alésage x course (mm): 76 x 81 mm / 82,55 x 72,75

Puissance maxi (ch à tr/mn): 78 à 6000 / 126 à 6500

Puissance spécifique (ch/L): 53 / 80,9

Couple maxi (Nm à tr/mn): / 153 à 5500

Couple spécifique (Nm/L): 80,04

TRANSMISSION : AR

Boîte de vitesses (rapports): 4 / 5 manuelle

POIDS :

Données constructeur (kg): 620 / 710

Rapport poids/puissance (kg/ch): 7,9 / 5,63

ROUES :

Freins Av-Ar (ø mm): Disques - Tambours

Pneus Av-Ar: 175/70 HR 13 - 185/70 HR 13

PERFORMANCES :

Vitesse maxi (km/h): 180 / 190

400 m DA: ND

1 000 m DA: ND

0 à 100 km/h: 8"5

La Lotus Europe (ultérieurement "Europa") est une voiture de sport 2 places à moteur central, conçue et fabriquée entre 1966 et 1975 par le constructeur britannique Lotus dirigé par Colin Chapman. Présentée le 20 Décembre 1966, c'est le type 46 de la marque.

A l'origine le modèle qui allait devenir l'Europe fut conçu pour répondre à la recherche par Ford - dès 1963 - d'un projet de sport-prototype "clé en mains" qu'il comptait aligner pour renverser la suprématie de Ferrari en compétititon sur le continent Européen, avec évidemment des visées de merketing et de commerce.

Ford avait également en vue la Lola GT Mk VI, conçue par Eric Broadley autour d'un Ford V8 et dessinée par John Frayling. Lotus comptait sur ses relations déjà existantes avec le constructeur américain - les Lotus de l'éopoque étant propulsées par des blocs Ford modifiés - pour obtenir le contrat. Mais le choix se porta sur Lola, d'une part parce que le modèle roulait déjà - alors que le projet Lotus à moteur central n'existait que sur plans - mais aussi, dit-on, parce que Chapman exigeait que le nom de l'auto fût Lotus-Ford et non Ford.

Le projet fut alors reconverti, dans la lignée des précédents modèles Lotus Elite et Elan, en voiture de sport économique mais performante utilisant des solutions innovantes. Le moteur et la boite sont d'origine Renault R16, la puissance étant légèrement augmentée à 82 chevaux. La structure est de type poutre centrale en acier en Y avec, dans la première version, une carrosserie en fibre de verre incorporant le châssis, la coque participant donc à la ridigité.

Lotus Europe / Europa                                                                              1966 - 1975

Avec une suspension directement dérivée des modèles Lotus de compétition, et un centre de gravité exrêmment bas, le résultat en tenue de route était excellent. Le modèle dérivé pour la course (Type 47) s'adjugeait d'ailleurs les deux premières places à sa première compétition à Brands Hatch. Malgré la difficulté technique de réparation en cas de choc grave, les assureurs jugeant progibitif le coût de remise en état d'un châssis faisant corps avec la carrosserie, l'audace des solutions retenues - notamment moteur central, vitres et sièges fixes, carénage inférieur intégral du châssis, faisait date dans l'histoire des GT de route.

Le dessin de l'Europe, dû à John Frayling et Colin Chapman, est très original tout en étant proche des prototypes de l'époque, conférant à l'auto une allure de modèle de course, avec sa très faible hauteur et son profilage exceptionnel (Cx 0.29).

L'Europe a ensuite évolué en une Série 1A qui comporte quelques modifications (vitres démontables avec déflecteurs fixe, tableau de bord bois, notamment), puis 1B (nouveaux feux et jupe arrières), puis Série 2 au châssis séparé et mieux équipée, mieux finie, puis un nouveau type appelé Europa Special qui utilisait le moteur Lotus twin cam des Lotus Elan. L’Europe S2 est le type Lotus 54 et l’Europa Special le type 74.

La version compétition de la Lotus Europe Type 46 est la Lotus Type 47.

Elle a été présentée quasiment simultanément à la 46, lors du British Eagle Trophy le 26 Décembre 1966 sur le circuit de Brands Hatch en Angleterre. Dès cette première course, les deux Lotus 47 engagées réalisèrent un doublé avec John Miles remportant la victoire et Jackie Oliver en 2ème position. Oliver perdait cependant la deuxième place car il recevait une pénalité pour avoir été poussé au départ. Cette version est équiée d'un moteur Ford Cosworth, avec une puissance environ double de celle de série, et recevait certaines modifiations de suspension et freinage notamment. 55 exemplaires de la Lotus 47 ont été construits.

1966 - 1975

Lotus Europa S - Europa SE                                                                         2006 - >

20.12.1966 - Europe S1 (Type 46).

Moteur Renault R16 1470 cm3 modifié (carburateur différent, arbre à cames spécial, taux de compression accru).

27.12.1966 - version course (type 47) à moteur Lotus Cosworth, homologuée en groupe 4 (50 exemplaires).

1594 cm3, injection, 165 ch, boîte Hewland FT 200, 4 freins à disques, châssis et carrosserie très allégés, etc.

première victoire à Brands-Hatch 1966 avec John Miles au volant.

Type 47A, avec le châssis détachable de la S2 et coque renforcée (courses de clubs disputées sur une faible distance).

victoire en 2 Litres aux 6 Heures de Brands Hatch en 1967.

Type 47D à moteur Rover V8 4.7 l, carburateurs double corps Weber, 296 ch.

28.12.1967 - La Lotus Europe est disponible en France.


10.1967-4.1968 - Europe S1 Mark 1 (S1A).


4.1968-8.1971 - Europe S2 (Type 54), équipement enrichi.

châssis démontable, lève-glace électriques, sièges réglables.

3.1969 - Europe S2 "Federal" (Type 54) pour le marché américain.

à partir du modèle 54/1066, moteur Renault 1470 cm3.

6.1969-5.1971 - L'Europe S2 est disponible sur le marché britannique, montée ou livrée en kit.

11.1969-12.1971 - Moteur Renault 1565 cm3 sur l'Europa S2 "Federal" (Type 65)

à partir du modèle 54/1066.

80 ch à 6 000 tr/mn, carburateur Solex 26-32 DIDSA 5.


9.1971 - Europa Twin Cam (Type 74), moteur Ford Lotus 1558 cm3, boîte Renault, 188 km/h.

disponible sur le marché britannique puis sur le marché US en novembre, en France en janvier 1972.

visibilité vers l'arrière améliorée par une échancrure des petites dérives surmontant le compartiment moteur.


8.1972 - Europa Special sur tous les marchés ("big valves" - grosses soupapes, 198 km/h).

1973 - Série limitée Europa Special JPS à boîte 5 vitesse et jantes alu de série.

1975 - Fin de production des Europa à moteur double arbre au printemps.

9 230 exemplaires produits, tous modèles confondus.

Le succès de l'Elan donna une certaine aisance à Lotus Cars Ltd. qui put envisager son avenir avec confiance. La société Lotus Components Ltd. en revanche, si elle était fort occupée en été à assembler des Seven, se trouvait moins affairée en hiver, où la rigueur des éléments décourageait quelque peu la clientèle. Colin Chapman décida donc de lancer un petit coupé très simple, mais d'une architecture ultramoderne, c'est-à-dire à moteur central. L'Elan utilisait un moteur à base Ford, mais les relations entre le petit constructeur de Cheshunt et le géant américain n'ont pas toujours été au beau fixe. C'est ainsi que Colin Chapman, qui avait mené à bien deux importants programmes de compétition avec Ford - l'opération Cortina-Lotus et les 500 Miles d'lndianapolis, remportés par Jim Clark en 1965 -, avait très mal pris le fait que Ford se soit tourné vers Lola en 1964 pour confier à Eric Broadley le programme "Le Mans". Visitant un Salon de l'auto, son attention fut attirée par le moteur de la Renault 16, qui lui sembla présenter tous les avantages pour l'utilisation à laquelle il le destinait : poids réduit par sa construction tout en alliage léger, faible longueur du fait de sa configuration à petit alésage, présence de tous les accessoires (alternateurs, etc.) sur la face du moteur accouplée à la transmission, ce qui allait faciliter l'accessibilité à ces organes.

Par l'intermédiaire de l'auteur, la négociation fut engagée avec Robert Sicot, le directeur des relations publiques de la Régie, qui lui donna d'emblée la tonalité "relations publiques" : le mariage Renault/Lotus devait permettre au constructeur français de profiter du prestige dont bénéficiait le constructeur qui dominait largement la Formule 1. Renault accepta donc de fournir à un prix compétitif une version spéciale de son 1600 cm3 portée à 82 ch par l'emploi d'un carburateur différent, d'un arbre à cames spécial, et dont le taux de compression était accru. En ce qui concerne la transmission, le couple conique donnait un rapport allongé, et il était retourné puisque la position du moteur était inversée par rapport à la R16 à traction avant.

Baptisée Europe, cette voiture devait être un "premier prix", aussi de gros efforts furent-ils entrepris pour en abaisser le prix de revient. C'est ainsi que le premier modèle, S1 (type 46), ne comportait pas de sièges réglables (c'est le pédalier qui se déplaçait, opération nécessitant l'emploi d'outils), les vitres étaient fixes et la finition assez sommaire. L'architecture était celle d'une Elan inversée.

Quant à l'Europe, il apparut très vite que ceux qui s'y intéressaient étaient prêts à payer plus cher pour disposer d'une voiture mieux finie, dépourvue des inconvénients que nous avons mentionnés plus haut. Telle fut la S2 (type 54), introduite en juillet 1967 (lève-glace électriques, sièges réglables), qui comportait également une modification invisible mais fondamentale : sur la S1, la poutre centrale était noyée dans le plastique, ce qui posait d'énormes difficultés en cas d'accident : il fallait changer l'ensemble coque et châssis. La S2 allait donc avoir un châssis démontable.

Mais Robert Sicot avait quitté Renault, et Jean Rédelé, d'Alpine, très influent chez Renault, n'avait pas vu d'un bon oeil cet accord Renault/Lotus. Son avenir était donc compromis et Chapman allait par la suite équiper l'Europe du même moteur twin-cam que l'Elan. Celui-ci resta cependant accouplé à un boîte Renault durant toute l'existence de la voiture. La Lotus Europe à moteur Ford-Lotus, dont l'appellation devint Europa (type 74), fut lancée en été 1971. Elle comportait une autre modification destinée à supprimer un inconvénient notoire de l'Europe : la visibilité vers l'arrière avait été améliorée en échancrant les petites dérives qui surmontaient le compartiment moteur. La capacité de carburant était doublée.

L'Europa Spécial prit le relais lorsque Renault cessa la fourniture de ses moteurs.

Elle était équipée du même moteur Ford-Lotus que l'Elan.

Notez la carrosserie échancrée pour améliorer la visibilité vers l'arrière.

La dernière version fut l'Europa Special, apparue en 1972 avec le moteur "big valves" et la boîte Renault à cinq rapports de la RI6 TS. Cette voiture fut abandonnée en 1975, 9 230 exemplaires en avaient été construits entre 1966 et 1975, succès commercial indiscutable.


Un peu moins confortable que l'Elan (suspension à plus faible débattement), l'Europe possédait, comme sa soeur, une tenue de route exceptionnelle. Ses performances furent comparables dès lors que le même moteur fut utilisé. Le prix l'était aussi. Le handicap de cette voiture était le fait qu'il s'agissait d'une stricte biplace décommandée aux claustrophobes, avec un coffre de faible volume et une largeur accrue de 10 cm, qui exigeait une certaine attention de la part du conducteur sur les petites routes et dans le trafic. La dernière version possédait l'avantage d'une boîte à cinq rapports, dont on sait combien elle fit défaut à l'Elan, mais, en contrepartie, la tringlerie de commande de la boîte de vitesses ne fut jamais parfaite.


Fort de son expérience avec l'Elan, Chapman ne se laissa pas prendre de vitesse et il sortit la version compétition de l'Europe (type 47) en même temps que celle de tourisme. Celle-ci restait du domaine de Lotus Components.

Au lendemain de Noël 1966, la 47, pilotée par John Miles, remportait sa première victoire à Brands-Hatch. L'aspect était celui de l'Europe, mais elle avait déjà le moteur Ford-Lotus, accouplé à une boîte Hewland. La suspension était différente. Châssis et carrosserie étaient très allégés et les freins étaient à disque sur les quatre roues (tambours à l'arrière sur l'Europe). La 47 fut homologuée en groupe 4 (50 exemplaires) et elle évolua rapidement en 47A, avec le châssis détachable de la S2 et une coque renforcée. Les freins furent améliorés, mais ils devaient rester en permanence le point faible de cette voiture, la reléguant aux courses de clubs, disputées sur une faible distance. L'usine en engagea une dans quelques épreuves de Championnat du monde d'endurance et remporta la catégorie 2 Litres aux 6 Heures de Brands Hatch en 1967.


Gérard Crombac

On retrouvait donc la poutre centrale, mais c'est vers l'arrière que ses branches s'écartaient pour recevoir le moteur.


Des retards dans la conception de la carrosserie ne permirent à l'Europe de faire ses débuts qu'à la fin de 1966, alors que Chapman s'était réconcilié avec Ford, qui avait accepté de financer la construction du moteur Ford Cosworth de Formule 1. Ce n'était plus Components qui la produisait, comme cela était prévu à l'origine, mais Lotus Cars. Lorsqu'elle apparut, il était clair qu'elle représentait un autre concept que l'Elan, mais ne concurrençait pas non plus la Seven, qui allait donc, contrairement aux pronostics, rester encore longtemps en production.

La Lotus Europa, deuxième du nom, est un modèle dérivé de la Lotus Elise S2 et de l'Opel Speedster Turbo, étudié pour une utilisation plus routière, avec plus de confort et de classe. Ce nom a précédemment été attribué à un autre coupé des années 1970, sous les formes Europe et Europa.

L'Europa S, lancée en 2006 utilise un moteur d'origine Opel de 2 ℓ turbocompressé délivrant 200 ch, associé à une boîte de vitesses manuelle à 6 rapports. Cette importante puissance permet à l'Europa S de garder des performances équivalente à la légère Elise malgré le poids de ses éléments de confort. En 2008 la gamme est complétée par une version SE, pour laquelle un nouveau turbo porte la puissance à 225 ch, et l'ancienne Europa S devient simplement Europa, tout en voyant son tarif significativement diminué.

Fin 2008, suite à la décision du groupe Chrysler de montrer ses avancées dans le domaine du véhicule électrique, la Lotus Europa est choisie pour servir de base à la Dodge EV, un prototype qui lui emprunte châssis, carrosserie et intérieur, seul le groupe motopropulseur étant remplacé par un ensemble électrique.

 
sommaire les photoshttp://www.myelise.fr/intro/sommaire_les_photos.html
sommaire généralhttp://www.myelise.fr/intro/sommaire_general.html

l’Europa en détail

l’Europa SE

Disponible à partir de Juin 2008, la Lotus Europa SE sera exclusivement réservée aux marchés européens. Elle se caractérise par un 4 cylindres 2,0 litres turbo développant 225 ch (contre 200 ch auparavant) et 300 Nm de couple et se distingue par ses jantes exclusives de 17 et 18 pouces laissant transparaître des étriers AP Racing à 4 pistons et disques ventilés et percés de 308 mm de diamètre. Le gain de puissance s'explique par l'adoption d'un nouveau calculateur et de nouvelles bougies.


A l'intérieur, l'habitacle s'offre une une sellerie et une planche de bord tendue de cuir de grande qualité.


Lotus estime que sa Europa SE est capable d'abattre le 0 à 100 km/h en 5,7 secondes et d'atteindre 229 km/h en vitesse maximale (des données qui restent encore à vérifier).


Prix en 2008 : 50600 € pour la SE et 45750 euros pour l’europa